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Histoire du Lycée Briacé

Dès l’avant-guerre de 1939, de nombreux vignerons du Muscadet souhaitaient une École de Viticulture. Elle aurait pour tâche essentielle de former les jeunes à la culture de la vigne, mais surtout à l’analyse et au travail du vin. Il n’existait rien ou presque dans la région.  

En 1951, Monsieur Gilbert Blanchard Des Crances propriétaire du château de Briacé mettait en vente en viager le peu de biens qui lui restait :  une trentaine d’hectares de vignes, un château, un parc et des dépendances diverses. 

Le tout était situé dans un cadre agréable, en plein cœur du vignoble nantais. C’était une propriété idéale pour l’École de Viticulture et d’Agriculture dont rêvaient, depuis longtemps, les administrateurs de la Fédération des Syndicats Viticoles.  

Ils font appel alors aux frères de Saint-Gabriel pour construire des dispositifs de formation. Ils rachètent le château de Briacé et son vignoble pour s’y installer. Ils en sont encore actuellement propriétaires. 

Les premiers cours viticoles et agricoles sont dispensés en 1953 sous la direction du Frère Pierre Guillet au Loroux Bottereau, en attendant les aménagements nécessaires. 

En 1957, le Lycée Briacé ouvre ses portes dans le château au Landreau. En 1961, le lycée prend de l’ampleur et lance la construction d’un grand bâtiment de presque cent mètres de long, à quatre niveaux permettant d’accueillir 300 élèves.  

Depuis, le Lycée Briacé a développé ses activités et propose de nombreuses formations autour des sciences de la vie et du vivant.  

Le tout au sein d’un lycée polyvalent d’Enseignement Général, Technologique et Professionnel, d’un campus d’enseignement supérieur, mais également d’un centre de formation continue accueillant des apprentis, une école de production et des adultes en formation professionnelle. 

 

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Nos origines

Le réseau Sagesse-Saint-Gabriel s’inspire de la spiritualité de son fondateur Saint-Louis-Marie de Montfort et de ses co-fondateurs Marie-Louise Trichet, Gabriel Deshayes.  

Cette congrégation enseignante appartient à la grande famille Montfortaine. Passionnés d’éducation, engagés dans la solidarité, ces membres offrent à travers le monde, une éducation humaine et spirituelle.

“La tradition c'est ce qui se transmet, pas ce qui se conserve”.
“Transmettre c'est le propre de la vie. La modernité de notre tradition s'est toujours nourrie d'audace, de prise de risque, de confiance.”

Les établissements du réseau SSG sont héritiers d’un souffle et d’une tradition pour répondre aux besoins du temps, ils sont aussi bâtisseurs pour développer la créativité de chacun et favoriser sa confiance en lui afin qu’il puisse mettre en œuvre toutes ses potentialités dans le monde d’aujourd’hui et plus encore dans le monde de demain. 

Enseignement et éducation sont indissociables : grandir, travailler, vivre dans un établissement Sagesse et Saint-Gabriel, c’est être dans un lieu qui privilégie l’accueil de toute personne pour lui offrir un chemin de bonheur. 

fondateurs

Nos fondateurs

  • Saint Louis-Marie Grignion de Montfort (1673-1716) : prêtre, éducateur, artiste … Évangélisateur infatigable, fondateur de congrégations (missionnaires montfortains : prêtres et frères, Filles de la Sagesse) et d’associations de laïcs. Il crée des œuvres et des écoles charitables (gratuites) pour les pauvres, tenues par des frères et des sœurs. Il n’aura de cesse de révéler la tendresse et l’amour du Christ Sagesse. Sa spiritualité inspire toujours de nombreuses personnes et groupes.
  • La bienheureuse Marie-Louise Trichet (1684-1759) : la phrase de Montfort « Ceux que le monde délaisse, doivent vous toucher le plus » est au cœur de sa vie. Elle partage durant 10 ans la condition des plus pauvres : « Si j’étais étoffe, je me donnerais aux pauvres ». Co-fondatrice des Filles de la Sagesse, Louis-Marie lui confie la première école charitable de filles de la congrégation à La Rochelle.
  • Le Père Gabriel Deshayes (1767-1841) : Celui-ci donne une nouvelle impulsion à la communauté des missionnaires et frères enseignants basés à Saint-Laurent-sur-Sèvre. Ceux-ci prennent alors le nom de Frères de Saint-Gabriel. De nombreuses écoles primaires sont ainsi créées dans les campagnes, mais également des instituts pour les jeunes sourds… avec pour principale consigne : « Ne laissez aucune bonne œuvre sans l’accomplir. »

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